Licence professionnelle Hôtellerie et tourisme spécialité Santé, bien-être et plaisir par l'alimentation et la cuisine

Organisation

Modalité et controle de connaissances

Organisation des épreuves

Deux sessions d’examen sont prévues.

La première session se déroule :

• en février/ mars, avant le départ en entreprise, pour les UE1, UE2, UE3 et UE4
• en juin/ juillet, à l’issue du stage, pour l’UE5.

La seconde session se déroule :

• en juin/ juillet pour les UE1, UE2 et UE3
• en septembre, pour les UE4 et UE5. Cependant, pour l’UE5, si le maître de stage ne valide pas de l’étudiant (note < 10/20) ou si l’étudiant n’effectue pas la durée totale impartie (16 semaines), aucune session de rattrapage n'est organisée pour la validation du stage, sauf redoublement et exécution d'un nouveau stage.

Ce planning est susceptible d’adaptation pour les étudiants en formation continue et en alternance.

Validation du diplôme

La licence professionnelle associe le contrôle continu, les comptes rendus de travaux pratiques et de travaux personnels et les examens finaux.

Elle est validée si les étudiants valident indépendamment les semestres 1 et 2 :

• la validation du S1 nécessite :

- une moyenne générale égale ou supérieure à 110 sur 220 sur les UE1, UE2 et UE3 (UE compensables de S1),

- sans aucune note inférieure au minimal requis pour chaque module de ces UE.

• la validation du S2 nécessite :

- une moyenne générale égale ou supérieure à 90 sur 180 sur les UE4 et UE5 (UE compensables de S2),

- sans aucune note inférieure au minimal requis pour chaque module de ces UE.

• Il n’y a pas de compensation entre les semestres.

Une mention est attribuée au vu de la moyenne générale des 5 UE affectées de leur coefficient, selon les modalités suivantes :

• mention Très Bien pour une moyenne générale égale ou supérieure à 320/400
• mention Bien pour une moyenne générale comprise entre 280/400 et 320/400
• mention Assez Bien pour une moyenne générale comprise entre 240/400 et 280/400
• mention Passable pour une moyenne générale comprise entre 200/400 et 240/400

En cas d'échec à la 1ère session, les étudiants peuvent, à leur demande, conserver pour la 2nde session les notes des modules supérieures ou égales au minimum requis, le cas échéant. Les mêmes règles de compensation et d'attribution des mentions s'appliquent à la 2nde session.

En cas d'échec après les deux sessions d'examen, les UE validées individuellement (moyenne de l'UE ? 10/20 sans note de modules inférieure au minimum requis) restent acquises pour une durée de 5 ans.

Dans le cadre d’un contrat de travail spécifique, l’apprentissage constitue l’une des deux voies avec le contrat de professionnalisation de la formation par alternance.

L’apprentissage à l’université de Bordeaux, c’est :

• préparer un diplôme de l’enseignement supérieur reconnu par l’État (DUT, licence, licence professionnelle, master professionnel)
• développer ses compétences en combinant théorie et pratique dans le cadre d’une mission définie en entreprise et en bénéficiant d’un enseignement universitaire de haut niveau
• acquérir une expérience professionnelle reconnue
• bénéficier d’un double suivi : en entreprise (maître d’apprentissage) au centre de formation (tuteur)
• financer ses études en recevant un salaire pendant la durée du contrat

Les centres de formation à l’apprentissage (CFA) de l’université de Bordeaux offrent des parcours en apprentissage du DUT au master professionnel dans des secteurs d’activité variés, adaptés aux métiers et fonctions de l’entreprise.

• CFA métiers des sciences et technologies
• CFA de la santé
• CFA des métiers du droit, de l’économie et du management

De plus, certaines formations en apprentissage de l’université sont réalisées en partenariat avec des CFA de branche.

Le candidat doit avoir moins de 26 ans (sauf cas particulier).

> L’apprentissage à l’université de Bordeaux est ouvert aux jeunes de nationalité étrangère.

Il s’agit d’un contrat de travail à durée déterminée signé par l’employeur, l’apprenti et le centre de formation des apprentis (CFA). Le contrat fixe les engagements respectifs des trois partenaires.

Au titre de son engagement, l’employeur verse un salaire à l’apprenti, lui garantit une formation professionnelle en rapport avec la mission, nomme un maître d’apprentissage chargé de guider l’apprenti tout au long de sa formation.

Lorsque l’apprenti n’est pas en entreprise il suit des enseignements dispensés par le centre de formation auquel il est rattaché, qui surveille le projet, valide expérience professionnelle et niveau de compétence.

Du point de vue de l'employeur

L’entreprise finance l’apprentissage, en particulier via la taxe d’apprentissage, l’employeur peut bénéficier d’une prime de soutien à la formation versée par le Conseil régional d’Aquitaine et d’un crédit d’impôt. Elle a également à sa charge le salaire mensuel de l’apprenti qui représente un pourcentage du SMIC ou le minimum conventionnel et les charges sociales.